L’agence immobilière Re/Max, où je travaille, a publié un rapport intéressant, commandé par la célèbre société de recherche Léger.

Salut tout le monde! L'agence immobilière Re/Max, où je travaille, a publié un rapport intéressant, commandé par la célèbre société de recherche Léger.

Les modèles d'acquisition non traditionnels sont de plus en plus courants dans les grandes villes canadiennes. L'étude a révélé que dans 22 villes, près de la moitié, soit 48 %, - et cela représente un très grand nombre de personnes - sont prêtes à envisager ce que l'on peut appeler un achat alternatif.

Ce que cela veut dire? Tout ce qui diffère du schéma habituel d'achat d'un logement seul ou avec un conjoint (partenaire).

Diverses options se présentent ici : copropriété avec d'autres membres de la famille, acheter une maison et en louer une partie, etc.

Tout cela diffère quelque peu d’une ville à l’autre, mais dans l’ensemble la tendance est claire. Dans un environnement de prix et de tarifs élevés, il faut faire preuve de créativité. De plus, environ 13 % des propriétaires ont acheté un logement en utilisant l'une des méthodes mentionnées.

Les taux d’intérêt élevés ont atteint un plafond et un plateau, tout le monde s’attend – du moins pour l’instant, il n’y a aucune raison que cela ne se produise pas – une baisse des taux en 2024. C'est exactement ce dont je parle dans tous mes derniers articles (vous pouvez faire défiler le fil ici) et je vois « sur le terrain » - beaucoup de ceux qui attendaient entrent maintenant sur le marché.

De toute évidence, l’ingéniosité est une bonne chose, mais il s’agit d’une solution de contournement et non d’une véritable solution à la crise de l’abordabilité du logement. Nous et nos clients faisons ce qui est possible dans les conditions actuelles et résolvons les tâches assignées. C'est au tour du gouvernement)